25 MINUTES
23 ARTISTES CHORÉGRAPHIQUES
Production du CCN - Ballet de Lorraine en coproduction avec le CCN d'Orléans
Photos (c) Laurent Philippe
mar. 17 octobre 2023 — 20h
mer. 18 octobre 2023 — 20h
ven. 15 novembre 2024 — 20h
sam. 16 novembre 2024 — 20h
jeu. 28 novembre 2024 — 20h
mar. 03 décembre 2024 — 20h
mer. 15 janvier 2025 — 19h30
jeu. 16 janvier 2025 — 20h30
ven. 17 janvier 2025 — 20h30
sam. 18 janvier 2025 — 20h30
mar. 28 janvier 2025 — 20h30
mer. 29 janvier 2025 — 20h30
sam. 01 février 2025 — 20h30
dim. 02 février 2025 — 15h
mer. 05 février 2025 — 20h30
jeu. 06 février 2025 — 20h30
jeu. 13 février 2025 — 20h30
ven. 14 février 2025 — 20h30
jeu. 10 avril 2025 — 20h
lun. 05 mai 2025 — 20h
mar. 06 mai 2025 — 20h
mer. 07 mai 2025 — 19h55
jeu. 05 juin 2025 — 20h
sam. 31 mai 2025 — 20h
ven. 21 février 2025 — 21h
sam. 22 février 2025 — 19h
"Pour cette nouvelle création avec les danseur·euse·s du CCN - Ballet de Lorraine, j’ai imaginé un dispositif chorégraphique empruntant au cinéma certains procédés de montage et d’assemblage. Je travaille la pièce comme un plan fixe, ou plan séquence, où le mouvement et le regard ne s’arrêteraient jamais. La plasticité des images, l’énergie et le rythme des séquences étant constitutifs d’une scène dont l’intensité physique ou visuelle ne quitte jamais son apogée. La pièce, pensée comme un « bloc » de corps, d’images et de sons, ne comprendra ni début, ni milieu, ni fin. Tel un climax permanent, le groupe de danseur·euse·s tiennent ensemble ce point culminant, l’énergie devant toujours se trouver à son zénith. Dans STATIC SHOT tout racontera les corps, comment ils inter-agissent, comment ils excédent, comment ils se meuvent, comment ils vivent ou survivent, comment ils s’abandonnent, comment ils s’attirent, comment ils se mêlent, comment ils s’entrechoquent, comment il se transforment, comment ils ne meurent pas… Derrière un pitch, une situation simple ou une scène de « … » , que se passe t’il vraiment ? Et si le plaisir de ne faire qu’un devenait un motif de tension ? Entre extase et climax, danses collectives et unissons, où se situe alors l’accident, la fracture, le relâchement?"
Maud Le Pladec
(c) Martin Argyroglo
Après avoir suivi la formation exerce au Centre chorégraphique national de Montpellier, Maud Le Pladec est interprète pour plusieurs chorégraphes comme Georges Appaix, Loïc Touzé, Mathilde Monnier, Mette Ingvartsen ou encore Boris Charmatz. En 2010, elle crée sa première pièce Professor (prix de la Révélation Chorégraphique du Syndicat de la Critique), premier volet d’un diptyque autour de la musique de Fausto Romitelli puis en 2011, elle crée le second volet : Poetry.
En 2013, Maud Le Pladec est lauréate du programme Hors les Murs de l’Institut français et effectue une recherche à New York sur le courant de la musique post-minimaliste américaine qui donnera naissance à Democracy avec l’Ensemble TaCtuS et Concrete avec l’Ensemble Ictus. En 2015, elle initie un nouveau cycle de créations autour de la parole donnée aux femmes en co-créant Hunted avec la performeuse new-yorkaise Okwui Okpokwasili. En 2016, elle travaille à l’Opéra national de Paris sur Eliogabalo avec le metteur en scène Thomas Jolly et sous la direction musicale de Leonardo Garcia Alarcon. Parallèlement, Maud Le Pladec est artiste associée à La Briqueterie – CDCN du Val de Marne.
Depuis janvier 2017, elle succède à Josef Nadj et dirige le Centre chorégraphique national d’Orléans. Elle a créé depuis Borderline avec le metteur en scène Guy Cassiers, le solo Moto-Cross, Je n’ai jamais eu envie de disparaître avec l’auteur Pierre Ducrozet et Twenty-seven perspectives pour le Festival Montpellier Danse 2018.
En 2021, elle a présenté Static shot avec le CCN — Ballet de Lorraine, et counting stars with you (musiques femmes), une création dédiée au matrimoine musical. En 2022, elle crée Silent Legacy au Festival d’Avignon, un duo entre Adeline Kerry Cruz, 8 ans, jeune prodige du krump et la danseuse contemporaine professionnelle Audrey Merilus.